ronron devenu grognon (ronald).

about me ••• (1) Ron mange énormément. Que la faim fasse gargouiller son ventre ou juste par ennui, il n'hésite pas à avaler quelque chose. Grignoter entre les repas est à ses yeux une règle d'or. Les seules fois où il ne mange pas beaucoup c'est quand il est malade. Certaines personnes l'envient, Ron ne grossit presque pas - même si son appétit peut faire peur aux plus grandes cuisines. Pour l'instant, sa gourmandise est à ses yeux une qualité. Un atout. (2) Il est très tourné famille. Les Weasley sont toute sa vie. Il ferait tout pour ne pas voir les siens dans le besoin. Même s'il ne montre plus à quel point ils sont importants pour lui, leur bonheur et leur bien-être est l'une de ses principales priorités. Après tout, on ne touche pas à la famille royale. (3) Etant quelqu'un de très social et tactile, se faire des amis n'est pas un problème pour lui. Toujours présent si quelqu'un à besoin d'aide, il se porte volontaire pour toutes les tâches, y compris les plus ingrates. On peut toujours compter sur Ron, qu'on soit en bons termes ou non. C'est un garçon bien ; mais mieux vaut éviter de le chauffer car depuis la fin de la bataille à poudlard, Ron est devenu un peu plus impulsif et violent qu'autrefois. Il s'extériorise, ne garde plus rien en lui. (4) Il est assez singulier dans sa manière de s'exprimer ; ne prenant pas la réalité très au sérieux sauf en ce qui concerne les choses importantes pour lui, Ron ne fait attention à rien. Dans une situation assez spéciale, il trouvera toujours quelque chose de décaler à dire pour détendre l'atmosphère. Il semble assez débile dans ses propos, ne réfléchissant pas à comment former ou prononcer ses phrases. Elles ne tournent pas sept fois dans sa bouche avant de sortir. Elles sortent naturellement, sans artifices.

Une chambre. De vieux bouquins. Des moustiques. Des vêtements. Des poussières. Une fenêtre. Un garçon. Un lit. Ron.

Trois mois qu'il vit ici. Trois mois et dix-huit ans. Le moment de faire une pause destinée à faire de lui un homme responsable et adulte fut de courte durée - même pas un an. Il n'aurait jamais du vivre avec elle. Ron aurait tout simplement dû continuer ses études tout en vivant chez ses parents, en ne prenant pas ses responsabilités trop tôt. Limite, il n'aurait jamais dû se mettre en couple maintenant. Il est jeune, il est jaloux, il est amoureux. Sans le savoir, elle l'a transformé. Sans s'en rendre compte, aussi. Au départ c'est toujours mignon un garçon jaloux, ça rassure, ça confirme les sentiments qu'il éprouve. C'est tout simplement adorable. Puis la vérité éclate, la possessivité se dévoile, s'affiche et tabasse le cœur. Arrête de t'imaginer des choses, arrête d'être comme ci, d'être comme ça. Des raisons. Voilà ce qui pousse un homme à être jaloux, à s'exprimer, à montrer son mécontentement. Des raisons qui remettent en cause le comportement de l'autre. Et cette fois, malgré l’honorable personne qu'elle est, c'est Hermione Granger qui s'est retrouvée dans une sale situation. Savoir qu'elle est tombée dans le même panneau que Saint Potter le rend limite fou. Elle s'est rapprochée de ce c*nnard de blondinet, cette saloperie de Malfoy. Ce gamin qui pendant plusieurs années faisait de Ron, malgré son caractère et la présence de ses amis, un semblant de souffre-douleur. C'était en critiquant ses vêtements, sa manière de se coiffer, de parler que cette enflure de Draco se sentait puissant. Ses deux meilleurs amis, les deux étoiles de son monde, disent que monsieur est différent, qu'il est en train de devenir quelqu'un de bien. Bullshit.

Ils n'ont qu'à former un nouveau trio. On supprime le roux pour prendre le blond. Puis il est beau, Draco. Ça doit plaire à la brune.

Ginny s'est fait jeter comme une moins-que-rien. Harry joue au con. Hermione se rapproche d'un monstre. Que la guerre soit terminée est une bonne chose, mais aussi une mauvaise. Sans la tension qu'elle mettait sur toutes les épaules, les vrais visages se révèlent. Dans toute l'histoire du trio, Voldemort était présent. Que ça soit physiquement ou de manière plus subtile, il était là, capable de tout pour éradiquer la menace. À croire que le monde a besoin d'un méchant pour tourner dans le bon sens et ne pas dérailler si vite, mais y'a Fred. Fred qui n'est plus là, arraché, effacé du monde d'un revers de la main. Tué. Mort, un sourire aux lèvres, un rire qui résonne encore dans la tête de son double. Le monde n'a pas besoin d'un grand méchant. Plus jamais. C'est ce contre quoi Ronald se bat, contre ces monstres aux capuches noires qu'ils ne portent plus ; il ne faut pas pardonner. Les choses ont été faites, commises et malheureusement les excuses et les espoirs ne ressuscitent pas les morts.

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friends ••• avoir des amis, c'est important. on peut se trouver un truc qui démarre de poudlard, ou bien après. ron fait souvent des soirées, on peut trouver par rapport à ça. du positif, tout simplement. ou plus compliqué, qu'importe.
bastard ••• du négatif, car le négatif c'est toujours sympa. ton personnage déteste les weasley, déteste ron, déteste les roux... c'est le moment de t'éclater. on peut trouver un truc par rapport à tout et rien, vraiment. ron n'aime pas les gens qui se la pètent, au cas où.
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