AFTER THE STORM
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 he was my brother (ron)

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Harry Potter
Harry Potter
owl box : 586
pseudo : marine.
avatar, © : blake steven, myself (av)
multinicks : captain flint.
age : nineteen yo.
job : young auror.
relationship : two women haunt his mind.
blood status : half-blood.
patronus : a wild deer like his father.

( APARECIUM )
RP : ginny, hermione, ron, yona (OFF)
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MessageSujet: he was my brother (ron)   he was my brother (ron) EmptyLun 28 Aoû - 17:00


Spoiler:

( music theme )
Le numéro douze,
Place Grimmaud.


Une adresse qui fait mal, une adresse qui fait saigner, une adresse qui rappelle des souvenirs, de bons souvenirs, de mauvais souvenirs, une adresse qui fait office de réconfort, de refuge pour une gueule balafrée, pour un coeur éprouvé. Harry pousse souvent la porte du numéro douze, quand ça va pas, quand il n'arrive pas à dormir dans cette grande maison. Malfoy et Granger ne le savent pas, ou peut-être que Granger sait, mais c'est Hermion. Elle est douce et gentille, elle ne dit rien, elle fait comme si elle ne le savait pas, merci. Merci de faire semblant de ne rien voir, merci de le laisser vagabonder seul la nuit dans les rues de Londres quand il ne travaille pas. Merci. Car c'est seul que Potter pousse la porte du douze et pénètre sur ce plancher sombre. Ses premiers pas sont lents et tandis qu'il saisit sa baguette pour murmurer entre ses dents, lumos, il se souvient qu'il ne doit pas faire de bruit car le portrait d'une famille dort et ne demande qu'un bruit pour hurler. Spectre d'un autre temps, Walburga Black rôde ici comme un félin autour de sa proie.
Alors Harry avance doucement. Il traverse le long couloir qui l'amène à la cuisine et pousse la porte doucement, dans un grincement qui par chance, n'éveille pas le portrait. La cuisine est poussiéreuse, vide, désordonnée. Les chaises sont repoussées en arrière, comme si des fantômes d'une autre époque venaient de temps en temps pour faire vivre ce lieu dont le garçon a hérité. Mais ce ne sont pas des fantômes, c'est juste Harry qui s'assoit ici et là parfois, plongé dans ses propres souvenirs. Les bouteilles s'empilent les unes sur les autres. Tu devrais avoir honte. Il le ressent, mais n'arrive pas à l'exprimer. Sa main droite se referme autour de son haut gris pour serrer le tissu de toutes ses forces, comme s'il pouvait serrer ses entrailles, les tordre et faire taire cette douleur sourde. Une douleur que même sa muse, Ginny n'arrive pas à comprendre. Il ferme les yeux Potter, il inspire et expire lentement pour se calmer.
Pourquoi Harry vient ici ? Pourquoi ?
Pour se défouler, pour faire taire ses peurs, pour craquer car il se refuse de le faire devant les autres, pour se souler, pour prouver que derrière l'élu, il y a Harry et que derrière Harry, il y a un tas d'ordures. Ginny ignore tout de ça, des sombres pensées de son ancien amant. C'est parce qu'il n'a pas pu assumer ça, qu'il a préféré rompre.

Harry, You're So loved. Harry, Mama loves you. Dada loves you. Harry, be safe, be strong.
Je n'y arrive pas, désolé maman, désolé papa.
Je ne peux pas.
J'étouffe.


Il craque après un long moment et ne peut pas s'empêcher d'écraser son poing contre le mur. Ce mur qui porte les stigmates de plusieurs coups déjà donnés, qui porte des traces de sang que l'on retrouve sur les mains de Potter. Il ne compte pas les coups qu'il donne, mais il en donne suffisamment pour écraser ses phalanges contre le mur et arrêter quand la douleur mord la chaire et se veut trop grande. Il souffle un instant avant de tourner la tête vers la table. Bombarda ! Elle explose dans un bruit si fort, que le portrait se réveille et hurle. C'est un mélange qui fait mal, mais qui apaise en même temps, aussi étrange que cela puisse paraître. Les bouteilles éclatent au sol, certaines roules et échappent à la sentence. Harry saisit une chaise de ses bras et la lance contre le mur. Ca, c'est pour Theodore qui a pris sa place.
Il ramasse une bouteille et la lance sur le portrait qui l'insulte encore plus.
Ca, c'est pour Ron qui est trop stupide.
Son pied écrase tout ce qu'il peut, de rage, de colère, de désespoir.
Ca, c'est pour Ginny qu'il a abandonné lâchement.
Sa voix perce la demeure, surplombe celle de la veuve Black dans un hurlement grave.
Ca, c'est pour papa, maman et Sirius.
Orphelin.

C'est son plus grand maux. Orphelin. Potter en souffre et s'il pensait que la guerre allait apaiser cette douleur, que ses amis allaient combler le vide, il s'est trompé et en souffre encore plus. Le garçon cesse de bouger, de crier après quelques minutes. Ses yeux se posent sur Walburga qui se déchaîne. D'un geste vif, il rabat les rideaux pour la faire taire avant de monter les escaliers. Potter disparaît dans la chambre de son parrain, allongé sur un vieux lit poussiéreux. Il se surprend à sentir une coupure qui entaille le creux de sa main. Il ne se soigne pas, il laisse le sang couleur vermeil serpentait le long de son bras, sur le sol. Il ferme les yeux lentement, doucement, si bien qu'il n'entend pas la porte qui grince, un intrus qui trouble sa tempête intérieure.
C'est poser un mot sur le maux qui le ronge.
Détresse, mayday, mayday.


Dernière édition par Harry Potter le Mer 30 Aoû - 11:33, édité 1 fois
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Ronald Weasley
Ronald Weasley
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MessageSujet: Re: he was my brother (ron)   he was my brother (ron) EmptyMar 29 Aoû - 21:43

il étouffe. ne respire plus. ses poumons se bloquent. il n'arrive plus à rester enfermé là-bas, à poudlard, parmi les sourires et les joyeux survivants. y'a eu des morts, bordel. du sang là où nos enfants viennent marcher. ouah, c'est génial, les murs sont bien plus beaux maintenant ! mais pas que, on serait prêt à pardonner aux mangemorts ! c'est pas sérieux. même the chosen one est dans le lot. est tombé dans le panneau. tes parents sont morts d'une maladie, potter ? ton pire ennemi est revenu à la vie par l'opération du saint merlin ? ne pardonne pas à ceux qui on détruit ton monde. tous autant qu'ils sont. malfoy également. il l'a suivit. comme son ombre, comme avant, toujours derrière lui à le protéger, à gueuler sur ceux qui voulaient le faire chier. pas pour le défendre, pas cette fois. pour le finir. pour en finir. cette soirée était de trop, cette nuit sera la fin. ou le début d'une toute nouvelle histoire. harry entre dans le fameux douze square grimmaurd, ron, lui, observe de l'autre côté de la rue. les minutes passent. weasley se tient devant la porte, droit. le vent souffle contre sa nuque, sa mâchoire se contracte. perdu dans ses pensées, il réfléchit à quoi lui dire, à comment lui parler, à comment réagir à ses paroles. il se perd dans ses pensées, aussi. y'a des souvenirs qui remontent. des moments forts. des rires. pas de pensées sombres - quoique.

ça hurle à l'intérieur. une voix féminine, enragée. ron revient à la réalité, potter pète un câble. c'est la vieille mégère de black qui hurle mais harry surplombe rapidement son cri d'un plus fort, d'un plus vide, d'un plus brisé. toujours frères. toujours semblables. weasley pose sa main sur la poignée avant de soupirer, attendant une dernière minute avant de pousser la porte. il porte enfin ses couilles, weasmoche, pour affronter son voldemort personnel. celui qui depuis peu a brisé sa famille. leur famille. leur trio. tout est tellement calme et silencieux que sur le coup, il n'arrive pas à comprendre. un sentiment d'incompréhension lui traverse l'échine, pas un bruit, pas un mouvement. devant lui, au niveau de la pièce principale, y'a plusieurs morceaux de chaises en bois sur le sol. y'a des morceaux de verres. des trucs brisés, comme des bouteilles ou des vases, il sait pas trop. il voit seulement de la haine étalée au sol. sa haine, sa rage. potter est déprimé, potter est en colère ? tant mieux. qu'il réfléchisse. il est pas con, il va bien finir par comprendre. ronald s'avance aussi lentement et prudemment qu'il le peut, évitant de poser ses pieds sur les morceaux coupants. une chose est sûre, le rez-de-chaussé est vide. enfin, bordélique, mais vide.

faut monter. faut briser l'intimité de potter, faut fouiller à l'étage pour trouver sa carcasse énervée. sans attendre plus de temps, ron commence à monter les marches en silence. sur la pointe des pieds même. y'a une porte entrouverte. chambre de sirius - quelle incroyable coïncidence. ron contracte une nouvelle fois sa mâchoire et pousse le bois de sa main. potter est là. allongé dans le lit. les yeux fermés comme endormi. dans le coma ? non, non, pas celui qui survit au sortilège de la mort. mais il saigne. le sang coule sur sa main, sur ses doigts pour venir rouler sur les draps. le roux incline légèrement sa tête se posant dans l’encadrement de la porte. « t'es calmé ? » je sais que tu as des choses à me dire, harry. je le sens. tu parlais trop bien à poudlard, comme un élève. « tu saignes. » j'vais pas t'aider, faut pas me prendre pour ton infirmière. demande à tes copines pour ça. « on n'a pas réglé nos histoires. j'ai pas envie de m'arrêter là. » dehors, il était remonté. il voulait littéralement lui briser le nez, les lunettes, sa face d'ange qui plaît trop à ginny - mais là, devant son bordel, devant lui, seulement tous les deux... ron bloque. ne veut pas empirer plus les choses, ne veut pas lui faire de mal. ne veut plus. si potter souffre, si ron souffre, pourquoi ne pas régler les histoires, les problèmes ?

car potter aime bien draco. il croit en lui. en son changement.
en son nouveau colocataire,
en son nouvel ami,
en son nouveau frère.


faut se rendre à l'évidence, harry n'est pas un gars bien. il joue au fort devant les autres mais il brise toutes les choses qu'il trouve pour se calmer. alors ron, il commence à y croire. il se dit qu'harry ne l'apprécie plus, qu'harry sait comment choisir ses amis. « t'as brisé toi-même ta fameuse promesse. » j'ai pas oublié. j'oublie jamais ces choses-là. celles qui nous concernent, toi et moi.
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Harry Potter
Harry Potter
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MessageSujet: Re: he was my brother (ron)   he was my brother (ron) EmptyDim 3 Sep - 12:17


Ca craque. Tout craque. La corde si fragile qui permet à chosen one de tenir, de faire bonne figure, de sourire de devant et de pleurer de dos. Il a essayé, ouais vainement, de garder sa fierté mal placée à l'école, mais quand les portes se sont refermées, il n'a pas réussi à tenir le coup, la cadence, le rythme effréné de ses émotions. Le garçon a transplané pour se retrouver ici, pour craquer à l'abri des regards. Chosen one est parfait, il doit tenir cette image de héros, il n'a pas le droit de montrer qu'il est simplement un gosse qui a grandi trop vite, un survivant qui fait une crise d'ado un peu tard et qui a des faiblesses, ainsi que trop d'imperfections.
Alors Harry craque et envoie tout valser. La table, les chaises et même les bouteilles. Il aime ce son de verre qui claque, qui se brise, comme une partie de son âme en plusieurs morceaux. Ca lui rappel fatalement qu'il en avait aussi une partie, à lui, de son âme et qu'il était un peu, comme un réceptacle du mage noir. Tellement lié, tellement différents, tellement semblables. Cette idée le révulse autant qu'il se retient d'en vomir. Le spectre de Jedusor l'empêche d'avoir une vie correcte. La nuit, il dort mal, la nuit, il cri, la nuit, il pleure et il tremble, à la recherche d'une paire de bras qui n'est plus là. Tu l'as perdu en te perdant toi-même. C'est la fatale réalité qui le frappe en cet instant. Il avance oui, il avance à reculons. Voilà, bravo Harry, bravo, t'es capable du meilleur et du pire. Il ne demande même pas qu'on le pardonne, parce qu'il y a quoi à pardonner ? Pas grand chose, pour ne pas dire rien.

La crise passe. Ca fini toujours par passer, ces choses-là. Réfugié dans la chambre d'un parrain qui n'est plus là, qui est ailleurs, loin, très loin, de l'autre côté du miroir, Sirius, il entend les bruits de pas. Mais Harry les entend sans doute trop tard pour réagir. La porte s'ouvre, il croise le regard de celui qui hier, pouvait encore mon frère. Ron. Sourcils froncés, Potter l'observe un instant. Il ignore même sa main blessée tellement il se concentre sur les nombreuses tâches de rousseur qui pleuvent sur le visage de Ronald. Qu'est ce que tu fous là, toi ? T'as pas fais assez de dégâts, comme ça ? Il se retient, mais ses pensées crachent ses paroles malgré tout dans son subconscient intérieur. Alors c'est Ron, c'est toujours Ron qui brise le silence. Il est doué pour ça, son ami, douer pour casser, briser, détruire. « T'es calmé ? » Non. Mais là encore, Potter ne répond pas. Il attend, il laisse le silence s'installer, alors Weasley en profite pour ajouter quelques paroles. « Tu saignes. » Belle remarque, quelle perspicacité pour un auror. Une nouvelle fois, il ne parle pas chosen one, mais il pense, beaucoup, beaucoup trop. Tsss, il soupire et saisit sa baguette, mais pas pour attaquer l'envahisseur, simplement pour refermer sa plaie. Il pose le bout de bois dessus et marmonne un sortilège. « Episkey. » la plaie se referme sous ses yeux, le sang disparaît, mais les tâches sur le lit et partout ailleurs non. C'est un peu comme les séquelles, elles sont là, même si elles ne sont plus là. Quelque chose de visible mais que l'on ne voit pas. « On n'a pas réglé nos histoires. j'ai pas envie de m'arrêter là. » il enchaîne le petit rouquin, il veut définitivement parler, crever l'abcès, c'est sans doute une bonne idée. « Ah. C'est pour ça que tu es là ? » une question bête, presque d'un air j'en foutiste. Lentement, Harry se lève et fait face à son ami. Face à face, empiétant respectueusement sur l'espace vital de l'autre, ils font presque la même taille.
« T'as brisé toi-même ta fameuse promesse. » Crétin. il avale l'insulte Potter, il jauge un moment son ami avant de se décider lui aussi, à mettre les pieds dans le plat. T'en fais pas Ron, t'en fais pas, lui non plus, il n'a rien oublié. Lui non plus, il n'oublie pas, notamment quand il sait qu'il a une dette que tu ne connais peut-être pas. Parce que t'es comme le feu, parce que tu juges sans connaître, parce que tu parles trop vite, parce que tu ne sais pas tout, le rouquin. Potter, les mains dans les poches, fait face à son bourreau, son pote, son frère. « J'ai rien brisé du tout, Ron. » sa voix est calme, on peut sentir une lassitude naissante apparaître, ce conflit, ça le bouffe, ça le ronge, ça le dévore. « Ma porte est toujours ouverte, mon amitié est toujours là. C'est toi Ron, toi, qui a claqué la porte parce que j'ai décidé de donner une seconde chance à quelqu'un qui te débecte. » crever l'abcès ? D'accord, mais autant aller jusqu'au bout. « Malfoy, j'ai rien oublié de ce qu'il a été, de ce qu'il est, de ce qu'il a fait. J'ai rien oublié des insultes envers toi, ta famille, le fait que tu vives dans un trou à rat, de ce qu'il a fait à Hermione, à moi, à nous. » Face à face, on se ressemble tellement, frangin. « Mais c'était qu'un gosse et nous aussi. Un gosse mal élevé qui a fini par devenir la victime de Voldemort. Quand son père a terminé en prison, Voldemort a tout fait pour que Draco se tue en essayant de tuer Dumbledore. Snape était là pour lui et ça a échoué, on peut dire qu'il a eu de la chance, ou pas, selon ce que l'on pense. Mais t'oublie quelques détails, Ron. » t'oublie pas mal de choses en vérité, mon frère. « T'oublie qu'il m'a reconnu quand on était prisonnier chez lui, qu'il lui aurait fallu de le dire à Bellatrix, pour que tout s'arrête. » ça, c'est le premier point et ça fait déjà une bonne différence. « Mais surtout et ça, je ne crois même pas que t'es fais le lien dans ta p'tite tête ; sa mère m'a sauvé laa vie. » c'est sa dette. « Elle a affirmé que j'étais mort. J'étais entouré par les mangemorts, il aurait fallu qu'elle dise que je respirais pour qu'on m'achève et pour que tout se termine pour moi. Elle a pris un énorme risque, car elle ne savait pas si on allait gagner et si ça n'avait pas été le cas, je te laisse imaginer ce qu'elle aurait subi, sa famille et elle. Donc ouais Ron, j'ai accepté de tourner la page, d'oublier nos histoires d'autrefois, nos histoires de cours de récré pour tendre la main à Malfoy, pour sa mère, pour lui dire que j'oublie pas la dette que j'ai envers elle. » et Ron, tu sais comme Potter qu'une dette en magie, ça doit se payer, c'est inscrit dans la chaire, dans l'être. « Si tu ne peux pas comprendre ça, j'y peux rien. Alors oui, on se fait du mal, on se dit des choses immorales, grossières, mais au fond, pourquoi ? Parce qu'on est incapable de dire qu'on s'aime et que le reste, on en a rien à faire. On est des hommes, on est cons. Mais Ron, dans mon coeur, t'es et tu seras toujours mon frère. »
Et ce soir, il n'a pas envie de se battre encore. Ce soir, l'homme au coeur de lion est au pied du mur.
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